Un blog non-objectif qui vous permettra de comprendre certaines de mes addictions. Libre à vous de vous reconnaitre dans mes articles ou de vous en inquiéter...
Voici le deuxième poème que j'ai sélectionné parmis vos participations au concours.
Cette semaine, c'est au tour de Julien et de son poème qui rend homage à une petite partie des nombreux monstres que nous avons eu l'occasion de croiser au fil des aventures des S.T.A.R.S.
Un bestiaire tout de chaire
Sans nul doute une icône
Avec sa tête en forme de cône
Paré d'une imposante tentacule
Le Nemesis jamais ne recule
Une langue proéminente et béante
Il la manie d'une dextérité à toute épreuve
Abonné chez des prothésistes ongulaires
Le licker ne fait pas de manière
Part un grognement guttural
Il est le monstre cannibale
Assoiffé de sang coagulé
Le zombie est une indétrônable entité
D'un saut il décapite une tête
D'un bond il arrache un bras
Il sprinte sans relâche jusqu'à pas d'heure
Le hunter est le plus tendre des tueurs
Canidé pour certains
Monstruosité pour les plus malins
Le moins bon ami de l'homme désormais
Le cerbère fonce sur l'inconnu qui dormait
Le bestiaire de Resident Evil est bien fourni
Il a de quoi faire frémir même les plus aguerris
La morale de cette histoire est qu'il ne faut pas faire dans la dentelle
Même quand une femme zombie devant vous fait la belle.