Vous avez été tellement nombreux à m'envoyer des poèmes pour le concours des 18 ans de la saga Resident Evil qu'il m'était impossible de ne sélectionner que 5 d'entre eux. Comme promis, même si le concours est terminé et que les gagnants ont été désignés, je publierai chaque vendredi un de vos poèmes jusqu'à la fin du mois d'août (j'essaierai de faire en sorte que ça ne soit pas la seule activité sur le blog d'ici septembre... ^^;)
Aujourd'hui, c'est au tour de Freddy et de son poème qui rend homage au personnage le plus charismatique de la saga (et soyons honnête, de tous les jeux vidéo).
Ode à Bebert
Il fut un temps ou son nom était craint
Ou bien synonyme de fils de putain
Avec ses projets diaboliques
Et autres manipulations génétique
Notre cher Bébert,
Aurait aimé vous voir mort dans une rivière
Certes de l'eau ne tue pas
Sauf si elle contient un monstre marin
Qui semble avoir très faim
D'un cher et tendre Léon
Qui se défend avec son Harpon
Pour ne pas servir de repas
Durant ses folles années chez Umbrella
Nombre de gens sont passé de vie à trépas
Déclenchant la mort et le chaos
Surtout sur la pauvre équipe Bravo
Après avoir tué le regretté Ivan
Il rentra à Racoon exécuter son plan
Mais Jill et Chris l'ont découvert
Et voulurent arrêter Notre Bébert
Le Tyran l'ayant attaqué
Pour se sauver il s'injecta le Virus T
Laissez pour mort comme un con
Il s'échappa du manoir avant l'explosion
Sautons les étapes de Véronica,
Et des Chroniques D'umbrella
Car il est maintenant le superviseur
Des missions de Ada et de KRAUSER
Celle ci qui sauva Léon
Car Bébert n'était pas son Patron
Et puis c'est en Afrique
Que pour lui tout ce complique
Décapité par deux roquettes
Ouille ca doit faire mal à la tête
Le tout dans la lave en fusion
Il a eu chaud a son caleçon
Ne parlons pas de cinéma
Car pour moi il n'existe pas
Joué par Roberts ou O'Mara
Paul Anderson le condamneras
Au yeux du monde
Il fut un homme immonde
Mais pour les joueurs
Juste Albert WESKER